"Entre ici Monsieur Plus" *
Vous allez sans doute me dire que je me réveille après la bataille.
Et vous n’avez pas tord.
La fête des morts est passée depuis une semaine, et je n’en parle qu’aujourd’hui (j’ai fait le pont, merci, ça va pour moi).
Pourtant ce billet était prêt depuis Mathusalem (le grand frère de Magnum et de Jéroboam) et j’ai malencontreusement laissé passer la date. Mea culpa. J’étais sans doute trop occupé à me goinfrer des bonbons piqués aux sales garnements qui sonnent chez vous à pas d’heure déguisés en serpillères.
J’entends déjà les sifflets, les reproches : « hou, le méchant, le bourreau d’enfants… »
IL SUFFIT ! Vos reproches commencent à bien faire ! Faudrait voir à ne pas pousser mémé (et son chat) dans les chrysanthèmes orties.
Comme disait Pasteur, trêve de conversations stériles et venons-en au mort vif du sujet.
Voici venu le temps des rires et des chants de se recueillir.
Allée B, caveau 3 par exemple. Sur la tombe de feue "Neige à Paris".
Comme les éléphants (du PS ?), les blogs meurent. Et c’est ici qu’ils sont dignement enterrés.
Si un jour, vous me trouvez l’encéphalogramme un peu plat, que mes billet sentent le réchauffé, il sera peut être temps de passer de l’autre coté. Faites-y un saut, j’y aurai sans doute pris perpète.
* citation d’homme célèbre