La contraception, un geste éco-responsable
Avertissement de la rédaction : ce billet n’a aucune valeur scientifique. Les chiffres indiqués sont totalement farfelus et simplement destinés à illustrer la démonstration de l’auteur.
On sait que pour produire un kilo de blé, il faut environ 110 litres d’eau, que pour produire un kilo de salade, il faut pas moins de 100 litres d’eau, que pour produire un kilo de choux de Bruxelles, il faut 48 litres d’eau (ce qui est un scandale absolu compte-tenu du fait que ce légume est immangeable).
Et pour produire un seul kilo de bœuf, on dilapide plus de 30000 litres d’eau et 10 kilos de céréales.
On comprend mieux pourquoi les écolos nous demandent de diminuer notre consommation de viande afin de réduire notre empreinte sur la planète. Même si je préfère que ce soit le bœuf qui mange les légumes à ma place (d’ailleurs, à ce propos, si on pouvait les nourrir avec des choux-fleurs et des brocolis et laisser le blé pour ceux qui préfèrent les pâtes, ce serait sympa).
Si on pousse l’étude des statistiques un peu plus loin, on apprend qu’au long de sa vie, un homme ingurgite en moyenne 7 tonnes de viandes, soit l’équivalent de 70 tonnes de céréales et de 210 000m² d’eau…
Je vous passe les détails des calculs, mais il est simple de constater que l’élevage des hommes a un impact beaucoup plus néfaste pour la planète que l’élevage des bovins ou des ovins.
Or, on remarque que les écolos ont en moyenne plus d’enfants que les autres (je ne citerai pas de nom pour préserver leur anonymat).
Aussi, je pose la question suivante :
Pour le bien de la planète et celui des générations futures, ne faut-il pas commencer par éliminer les écolos avant de supprimer la viande de son alimentation ?